, tout est calme le rythme de navigation est régulier.
La nature se réveille,
les oiseaux chantent
le vent souffle dans les branches des arbres.
le bâteau s’arrête et klaxonne pour les prévenir de son arrivée
La structure en acier est colossale, les modules se répètent et on se sent écrasé.
Ces herbes géantes au bord de l’eau. Les petits bateliers leur sont familiers, ils se promènent souvent parmi elles, les bousculent, les écrasent.
fragments de structure normalement cachés
courir sur le chemin de halage, jouer dans les grandes herbes, et sauter à l’eau.
Aurais-tu aimé être batelier à ton tour, reprendre la péniche ?
Oui, oh oui.
Mais disons que la discussion a fait que ça ne s’est jamais produit.
Ils révèlent des aspects techniques et mécaniques parfois inaccessible au regard.
, nous sommes le matin et la brume est perceptible, douce et épaisse
Là par milliers et il sera temps d’accoster le bateau pour la nuit